jeudi, décembre 22, 2005

Hanucaraïbes

C'est en Colombie que je passerai les fêtes!

Noël dans la sublime ville de Cartagena et Hanukka avec la communauté de Barranquilla et sur la côte caraïbes .
Je n’ ai pas encore rencontré les gorilles et je ne me gratte pas non plus le nez...
Ce sont les clichés de la Colombie loin d'être une généralité!

La Colombie est un véritable coup de cœur, probablement mon pays préféré en Amérique du Sud! Des paysages époustouflants et des gens si heureux et chaleureux.
Côté nourriture... ils aiment la friture ce qui tombe plutôt bien pour Hanuuka mais il va falloir que je leur donne la recette des Latkes et des Souvganiot.


Feliz Navidad, Feliz Januka y Prospero Año 2006!

mercredi, décembre 21, 2005

L'Equateur- Quilotoa Loop , Chugchilàn et Quito

Les trajets de bus ont été jusqu’á maintenant les lieux de rencontre avec les locaux le plus propices.
Au départ de Cuenca, un passager se distingue parmis les autres, il s’agit d’un homme hyperactif, qui ne peut s’empêcher de parler avec tout ce qui bouge. Il me branche bien évidemment. Après être passé sur les informations de bases : ma provenance, mon nom, la durée de mon voyage et finalement ma religion. J'étais assise entre une soeur catholique et une femme pieuse qui étaient entrain de prier. Je lui dis donc que je suis juive. Comme dans les plupart des cas, ici on ne sait pas du tout ce que c’est être une "Judia" . J’explique souvent de façon très simple l'histoire de ce peuple. Il semble comprendre un peu... mais pas totalement. Je sors mon siddour pour lui montrer des textes en hébreu. Je lui demande de citer des psaumes qu’il connait et les lui montre en hébreu. Il est impressionné. Mais bon ce n’est pas cette nuit que je vais me mettre á lui apprendre á lire en hébreu.



Le bus a de l’avance… c’est la première fois que j’arrive plus tôt que prévu à ma destination.

Latacunga 4 heures du matin… alors que j’étais censée arrivée vers 6h et en comptant le retard habituel ça aurait été vers 7h du matin que j’aurais dû descendre du bus, aux premières lumières du jour ! Mais 4h du mat c’est tout autre chose! Il fait encore nuit et pas un rat dehors et je suis la seule à descendre du bus. Personne à qui demander mon chemin. Je perçois un taxi qui accepte de m’accompagner pour trouver un hôtel ouvert à cette heure ci.

Je m’aperçois vite que cette ville est miniscule, que les hôtels sont tous l’un à côté de l’autre et qu’en faite c’était même ridicule de prendre un taxi pour ces quelques centaines de mètres… mais bon mon 1$ fera plaisir au chauffeur ! L’hôtel Cotopaxi (le nom de volcan près de la ville) est illuminé. J’arrive à réveiller le gardien, qui très gentiment m’offre une réduction dans son hôtel car je suis une fille seule.
J’ai une superbe grande chambre avec une baie vitrée sur le Parc, c‘ est la place principale de la ville, une sdb privée et une TV avec câbles... je n’ai pas l’habitude de ce grand luxe !


Je rentre sous les draps propres pour terminer la nuit.

Latacunga est une ville charmante, de taille humaine avec seulement 54.000 habitants. Elle est peu bruyante, a de jolies places, de belles églises et édifices coloniales. L'atmosphère qui y règne est très agréable. Je me sens vraiment bien dans cette ville.

Comme dans chaque nouvelle ville, je commence la matinée dans le marché. Je m’arrête devant une marchande de jus de fruits. Ici elles préparent de grandes jarres et ensuite vendent les verres de jus. Son jus d’ananas est préparé avec beaucoup d’eau et de sucre, pas du tout de 100% pressé ! Comme j’assiste á la préparation et que je ne sais pas du tout d'oú vient cette eau, je m’inquiète un peu. Par politesse, je bois la moitié du verre en la remerciant de m’avoir servie un si grand verre, mais la moitié me suffisait. En fait j étais trop inquiète pour terminer tout le verre. Peur d’en être malade...ce qui n’était finalement pas le cas.


Jeudi 24 novembre, jour du marché à Siquisili, petit village qui se trouve à 15 minutes de bus de là. Ce marché a la reputation d'être très authentique et loin de la foule touristique.


C’est un village sans grand intérêt, mais son marché est étendu sur l’ensemble du village.

Les marchés sud-américain sont très bien organisés souvent par type de produits.
On y trouve des marchants de tomes de sucre brun, de la canne à sucre en sachet prêt á mâcher pour extraire son jus, des marchants de graines, marchants de pommes de terres qui connaissent un franc succès. Je sais qu’au Pérou il y avait 180 sortes de pommes de terre, ici en Equateur il n’y a pas de soupe sans pommes de terre. Les pommes de terre ont un goût et une consistance différents de ce que l’on peut trouver en France.











Sucre



Dans ce marché on vend aussi des peaux de moutons fraîchement arrachées, des poules, des petits cochons noirs.

Mais que regardent ils? hypnotisés par...

La TV...


J’y fais mes courses : fromage frais, fruits, canne à sucre, j’ai même trouvé du pain tressé que j’appellerai Hala.

Le bus pour Chugchilàn part à 11h30, c’est le seul bus de la journée, je n’ai pas intérêt à le rater. C’est un petit bus, on charge le toit des courses et de voyageurs.
Le bus devient vite bondé des gens et de …poules. Avant le départ on assiste à un vrai défilé de vente de fruits, batteries, allumettes… en gros, on peut faire ses courses tout en restant assit dans le bus !

Nous sommes 5 touristes dans ce bus, je suis étonnée car c’est la première fois que je me retrouve avec des touristes dans un bus et pourtant cette destination n’est pas très populaire. Des écoliers explosent le bus, ils sortent de l’école et rejoignent leurs villages. Ils nous dévisagent timidement.

Le paysage est magnifique, on découvre une autre face des Andes. 4 heures de piste caillouteuse et poussiéreuse pour enfin arriver à Chugchilàn, un tout petit village avec une petite place, 2 épiceries et une église.

Le restaurant du village est un stand de porc grillé que prépare Cecilia tous les soirs et qui vend des portions de son cochons pour quelques centavos... cela permettra de nourrir ses 10 enfants.


Les enfants traînent dans le village, ils sont très sales et négligés. Les bébés d’a peine 2 ans sont déjà indépendants, s'expriment oralement très bien, ils me semblent plus responsables que nos enfants de 2 ans. Ils sucent des os de porc grillé en guise de friandise.
Très vite une bande de gamins m’entourent. Nous jouons bien sure, mais ils me questionnent surtout sur l’appareil numérique que j’ai dans ma poche…
je leur apprend à utiliser l’appareil et surtout à bien cadrer car le tout n’est pas d’appuyer sur un bouton! Ils étaient heureux. Ainsi ils ont pu photographier leur famille. J ai tiré ces photos et leur ais envoyé. En voici quelques portraits qi'ils ont pris:

Les enfants de Chugchilàn


Après avoir passer une première nuit de Thankgiving dans l'auberge Black sheep Inn tenue par des américains, je me rends compte qu’il y a une autre auberge dans le village, tenu par des locaux ... c’est bien mieux!
Il s’agit de l’auberge de Mama Hilda. Mama Hilda et Papa Anibal est un couple d'agriculteurs à la retraite qui depuis 6 ans ont transformé leur habitat en une sublime auberge.

Papa Anibal et Mama Hilda

Vue de ma chambre sur le plateau

Le plateau

Très vite je me sens comme à la maison avec mes deux parents adoptifs. Il y a aussi Veronica, une jeune fille qui travaille dans l’auberge. Elle fait tourner en boucle sur le lecteur cd avec sa chanson préférée « va a España para buscar su papa » elle a à peine 19 ans et est maman célibataire avec des idées bien modernes. Elle refuse de vivre avec le père de l’enfant, elle veut étudier, d’ailleurs elle continue à aller au lycée. Elle rejette les hommes qui d’après elle ne pensent qu’à boire. C'est effectivement le cas dans ce village.


Les transports publics sont rares dans cette région, il y a des bus qui partent en général entre 3h et 6 du mat, cela dépend des jours...


Vendredi matin je rassemble mes amis des deux auberges: Jo et Kim les Koreens, Frederick le viking suédois, Daisy et Roland les Hollandais et Simona et Andreas les allemands. D’habitudes je fuis les groupes de touristes mais là nous étions une bande sympas ! A 6 heures du mat on attrape l’unique bus qui nous emmène à Quilotoa.

C’est un « faux village », puisqu’il n’existe que depuis que des touristes viennent visiter le cratère volcanique. Il n’a donc pas vraiment d'âme.
A peine descendu du bus... un jeune homme sorts de son auberge étonné de voir un groupe de 8 personnes débarquer si tôt le matin et sans guide !
On réveil le village. De tous les côtés on nous propose de venir prendre un petit dej, louer des chevaux, ou boire un coca cola... surtout ils essayent de nous convaincre que nous avons besoin de guide… On se débrouillera bien tout seuls.

On admire le lac, une vraie merveille. La descente dans le cratère est très amusante, car on s enfonce dans le sable a toute vitesse !


Une fois en bas on se rend compte que ce n’était pas du tout le chemin indiqué sur notre carte…(nous n’avons pas besoin de guide !) Il faut remonter... mais comme nous ne voulions pas reprendre le même chemin, on décide de couper a travers la montagne... ça parait facile vu d’en bas... mais super dur et dangereux une fois sur les pentes! Avec beaucoup de difficultés et une peur d’être égaré (non ! nous n’avons pas besoin de guide !) on arrive à retrouver le chemin qui nous ramènera à Chugchilan.


C’est en 8 heures que nous avons fait cette rando alors que d’habitude elle demande 4 à 5 heures. Mais bon on a fait quelques détours et on a bien pris notre temps !
La randonnée est extraordinaire, la vue sublime sur le cratère et sur le plateau de Chugchilan. Le groupe était super homogène et marchions tous au même rythme.


Avant de descendre vers le plateau on passe par un « village » de 4 maisons dont une vend que du COCA COLA … impossible d’y trouver autre chose ! c’est la marque qui l’impose !

1er arrêt...on rêvait d'un jus de fruit presée... on y vendait QUE du Coca Cola

Le lendemain l’auberge se vide.Tous sont déjà repartis et moi je reste pour shabbat. Sur la place du village, où je traîne pas mal avec les enfants, des parents d élèves viennent me voire et me supplient d’aider l’école. Ils ont besoins d’enseignants bénévoles. Je leur dis que je ne pourrais pas rester toute l’année scolaire. Ils semblent dire que même une semaine fera l’affaire !
J’accepte donc d’enseigner dans cette école. Après mon entretien avec le directeur entre 2 jeux de cartes dans la rue, je suis embauchée ! Je commencerai donc lundi matin.

Dimanche matin, je me réveille pour aller à la messe. Je suis étonnée de voire autant de jeunes. 350 enfants sont arrivés ce matin de tous les villages avoisinants pour assister au cours de catéchisme et à la messe. C’est un office de jeune …comme j’en rêverais de voire dans les synagogues !

Les enfants sont rangés en rangs devant l église par tranche d’âge et par sexe.
Les filles quichua portent des chapeaux feutrés, qu’elles retirent avant d’y entrer.

l'entrèe à l'église


On y entre par file. Le Prêtre les accueille, ils font leur procession et s’installent. Ils n’ont pas de livres de prières, mais les paroles des chansons sont inscrits en gros sur un panneau... ils chantent tous avec les main joints à l’avant.
Le Prêtre leur parle sur un ton autoritaire et parfois paternel. A aucun moment les enfants on échangé des paroles entre eux, quelle discipline!

J’étais impressionnée par cet office, car les deux dirigeants étaient des « blancs » et j’avais l’impression d’être à l’époque des missionnaires chrétiens en Amérique du sud !
Pendant que j’étais à la messe, un petit marché s’est installé sur la place.

Un homme et une femme d’apparence riche installent sur la place une balance, ils vont acheter les graines des paysans qui viennent avec leurs sacs de graines portés sur leur dos ou sur celui de leur lama.
Les acheteurs leur payent cash. Les paysans n’ont aucune notion de comment fonctionne cette balance. A peine le dos des acheteurs tourné, les paysans s’amusent comme des enfants à se peser.

J’assiste aussi à un mariage qui se fait très discrètement dans le bureau du "maire".


Un petit verre...C'est Dimanche!

L'achat de graines


Lundi matin, 7H30 c’est la rentrée pour moi ! La sonnerie de l école est une véritable sirène de guerre...
Les enfants se rangent dans la cours. L’école San Juan de Flores a 300 élèves. On commence la journée par des exercices de gym… comme en Chine.
Les retardataires se rangent le long du mur au fond de la cours. Ils devront refaire tous ces exercices une deuxième fois.
On termine le rassemblement avec la levée de drapeau du pays et le chant de l`hymne national.

Gym matinale


Ma classe comporte 57 enfants!!!!!! 4eme grade c’est à dire CM1 mais je pense qu’ils ont plutôt l’age d être en CE2 puisqu’ils commencent le primaire à 5 ans.

Je vous rassure ils sont loin d être plus avancés malgré l’entrée en primaire à 5 ans! Bien au contraire avec beaucoup de tristesse, je me rends compte très vite que les enfants ont d'énormes lacunes. Sur les 57 élèves 2 ont réussi à faire leurs devoirs correctement qui consistaient à de très simples multiplications.


cours de soutien

Les enfants sont en uniforme, cela leur permet d’avoir une tenue plus ou moins descente, mais cela ne les empêche pas d’avoir les mains noirs, les chaussures pleines de bouse de vache, des chaussettes complètement trouées, le nez qui coule, des chaussures trop petites, du coup on les troue a l avant pour les agrandir, des pantalons trop grands et pas de ceintures pour les tenir ! Ils sont extrêmement pauvres, ont de parents analphabètes.



Ils ont á peine de la place pour s’asseoir en classe, car leur cartable leur prend déjà la moitié du siège(pas d espace pour le poser ailleurs)

Ce sont avec des grands yeux brillants et beaucoup de timidité qu’ils communiquent avec moi. Ils sont fières d’avoir une Professora francesa.Les enfants des autres classes se tassent devant la porte et sous les vitres pour m’observer.

Un des professeur principale utilisent encore ces méthodes archaïques… à l’aide d‘un bâton, il frappe sur les fesses et les mains les enfants qui ne connaissent pas leurs récitations. Et comme aucun ne connaît, alors pendant 15 mins on assiste dans la classe à une fessée générale…


Dans la semaine de cours, 2 jours d école ont sauté, le premier car un « superviseur » venait « former » les enseignants aux difficultés qu’ils peuvent rencontrer et le deuxièmes car les professeurs devaient se rendre en ville pour chercher un formulaire administratif…

Cette journée de formation aux enseignants était interminable !
On a eut le droit a un « superviseur » de la direction éducative, un homme au look fonctionnaire, coincé a une certaine époque…
Il a passé 5 heures á parler sans aucun dynamisme dans le ton de sa voix, les professeurs n’ont pas ouvert leurs bouches durant toute cette formation. Lui a relaté les problèmes d’alcool des parents, l’eau potable dans l'école, l’assiduité des enfants…et les solutions ? la seule réponse qu il a donné était que les professeurs peuvent résoudre tout cela, car eux ont de la réflexion, ils sont instruits et intelligents !

Je comprends donc vite que ma présence n est pas suffisante pour aider cette école. Que c’est une organisation qu il faudrait. Et que certes, oui il faut y intégrer des enseignants étrangers et volontaires pour l’année scolaire. Je décide donc d être active et faire quelque chose pour Chugchilan.

Je me suis bien sure déjà attachée aux enfants, j’aimais aller a l école le matin et en sortant de « chez moi », les voir m attendre pour faire le chemin en me prenant la main. « buenas dias señorita Carmita » mais je me sépare d’eux en leur permettant de donner des nouvelles.
Je quitte Chugchilan, le cœur un peu gros mais avec une envie forte de soulever des montagnes pour aider cette école et ces enfants.
Je me rends donc à Quito la capitale…



Dans le bus vers Quito,je rencontre Nelson,un ancien policier a la retraite et qui a présent est bénévole a Quito pour aider les enfants des bidons villes. Sais tu comment je les aides señorita Carmita ? avec les paroles de D-ieu.
Il appartient a l’église évangéliste… il est fière de me raconter combien il est heureux d aider ces enfants, cela lui donne un réel sens a sa vie depuis que son épouse est décédée.


Arrivée a la Capitale je suis impressionnée par la géographie de la ville, construite dans une cuve, entourée de montagnes, avec des habitations sur les collines elle semble être une énorme ville et pourtant elle a peine 1.300.000 habitants.

Nelson ne me quittera pas a la gare routière, il veille a m’accompagner jusqu’à mon bus qui m amènera vers le quartier nord de la ville, oú se trouve les plupart des auberges.
On l appelle la ville nouvelle pour cela il faut traverser la vieille ville… le quartier est sublime, de maisons coloniales toutes fraîchement repeintes. Mais Nelson n arrête pas de m avertir d être très prudente ici. Je voulais un hôtel dans la vielle ville, mais il me le déconseille fortement, c’est mal fréquenté ici ! Je me rends compte effectivement qu’il s’agit de quartier défavorisé, il me rappelle le quartier du « panier » a marseille. Pauvre et fraîchement rénové. Je reste donc obéissante !
Le quartier nord , Mariscal Sucre, est bourré d auberges bon marché et de restaurants de type européens et américains. Ca grouille de routards qui sont la surtout pour faire la fête. Tous les soirs les rues sont pleines de jeunes avec des bouteilles de bière a la mains. Un espèce de « bastille » en plus « crainos » j ai horreur de ces ambiances mal seines, une vraie décadence. Je me sens absolument pas en sécurité dans ce quartier et dans cette ville. C est le lieu qui m effraye le plus dans mon voyage, il y a une très mauvaise énergie !
Mais bon je suis obligée de rester ici quelques jours pour mettre en place une aide pour Chugchilan.
Je passe dans les organisations humanitaires et propose le projet d’aide. Ecuador Volunteers acceptent de donner de l’intention à se projet, a condition que je les aide a trouver des financements.
Je trouve cette organisation très sérieuse, elle a de beaux projets. Je mets donc en ce moment en place le programme du projet et les nécessités avec le directeur de l’école. Dés que cela sera acceptée définitivement… je ferai appel á vous mes amis…

Pendant cette semaine Quito était en fête… c’était son anniversaire le 6 décembre. Tous les jours défilaient dans les rues de bus colorés avec une fanfare et les habitants qui dansaient au rythme de la musique… au bout de 5 jours, entendre toujours la même mélodie c était un peu soûlant !




Quelques Hightlights á Quito :

  • Visiter et revisiter la vielle ville…mais prudemment !
  • Boire du lait de coco frais
  • Visiter le marchè du dimanche de la calle 24 de Mayo… Barbes en puissance 100 (éviter de porter trop d argent et s’abstenir de photographier)

  • Monter a el Panecitto , pour admirer la ville ( en bus car a pied ça craint !)

  • Assister à un cours de cuisine de nourriture naturelle
  • Boire un latte avec un bagle cream cheese au Magic Beans cafè
  • Visiter le centre culturel
  • Voire des spectacles de danse folkloriques


Le"shulent" sud américain...


La mitad del Mundo… c est un village et c'est ici l équateur passe a ce point précis… j ai pris beaucoup de plaisir a passer un dimanche dans ce « parc d’attraction » oú il y avait essentiellement de touristes locaux venus se photographier devant ce monument. Les musées sont petits mais très intéressants.



Aprés cette semaine de « travail » dans cette ville que je n’aime pas trop… j’ai une forte envi de m’évader et je décide de FONCER en Colombie en un seul trait…enfin presque puisqu il n y a pas de bus directe.